Du Bénin au Canada: entre coup d'État et candidature au Sommet de la francophonie

Cette semaine, nous commençons avec les suites d’une tentative de coup d’État au Bénin, le week-end dernier. Dimanche dernier, des militaires annoncent à la télévision nationale avoir destitué le président Patrice Talon. Rapidement, les autorités affirment avoir déjoué ce coup d’État. Cotonou a notamment bénéficié du concours du Nigeria et de la France.

Les droits de douane pour les produits suisses exportés vers les États-Unis passent de 39 % à 15 %. Et, ce sera finalement avec effet rétroactif à la mi-novembre. Élu président de la Confédération le matin même, Guy Parmelin a enfin pu rassurer des entreprises, dont certaines avaient suspendu leurs livraisons dans l’attente de cette nouvelle.

En Belgique, la compagnie Ryanair menace de supprimer des liaisons avec les aéroports de Bruxelles et Charleroi. Des avions pourraient aussi quitter la Belgique. Une réaction à l’annonce de nouvelles taxes qui touchent le secteur de l’aviation, la taxe d’embarquement fédérale de 10 euros ou les taxes communales de 3 euros. Ryanair estime que ces décisions sont néfastes à l’aviation et nuisent à la compétitivité des aéroports belges. D’où cette pression exercée sur les autorités.

Le Canada voudrait accueillir le sommet de la Francophonie à Ottawa en 2028. Une candidature va être déposée. Le Premier ministre, Mark Carney, y voit une occasion de développer les échanges commerciaux et culturels avec différents pays francophones.

Enfin, c’est une insulte qui a largement fait réagir en France. L’indignation reste forte. Après la diffusion d’une vidéo de Brigitte Macron, la Première dame qualifie de « sales connes », des militantes venues interrompre un spectacle de l’humoriste Ary Abittan.

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