Burundi: «Il y a une paix et une stabilité apparente, mais aussi une impunité», dit Ketty Nivyabandi

Elle est journaliste, militante pour les droits humains et poétesse. Elle s’appelle Ketty Nivyabandi. Elle est née à Bruxelles de parents burundais, elle a passé une partie de son enfance et de sa vie de jeune adulte à Bujumbura, avant, en 2015, de devoir s’exiler, après avoir organisé la première marche pacifique de femmes de l’histoire de son pays. Pour dénoncer, à l’époque, la volonté du président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat. Désormais exilée au Canada, Ketty Nivyabandi vient de faire paraitre un recueil de poésie intitulé Je suis un songe de liberté. Elle est l’invitée de Florence Morice.

Ketty Nivyabandi, secrétaire générale d'Amnesty International Canada, elle-même réfugiée, se tient devant une pancarte pendant la manifestation. À l'occasion de la Journée mondiale des réfugiés, Amnesty International Canada et Human Rights Watch ont organisé une manifestation devant le bureau du Premier ministre à Montréal pour demander la fin de la détention forcée des réfugiés et des demandeurs d'asile au Québec, le 20 juin 2022.
Ketty Nivyabandi, secrétaire générale d’Amnesty International Canada, elle-même réfugiée, se tient devant une pancarte pendant la manifestation. À l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés, Amnesty International Canada et Human Rights Watch ont organisé une manifestation devant le bureau du Premier ministre à Montréal pour demander la fin de la détention forcée des réfugiés et des demandeurs d’asile au Québec, le 20 juin 2022. © SOPA Images via Getty images

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