Algérie : un Fennec promet de “tabasser” le Maroc en finale de la CAN

À quelques semaines du coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 au Maroc, la tension monte déjà entre certains internationaux du Maghreb. Dans une séquence devenue virale, un joueur algérien a imaginé une finale face au Maroc… avant de lancer une petite pique qui n’est pas passée inaperçue.

La rivalité sportive entre l’Algérie et le Maroc s’invite déjà dans les discussions, bien avant le début de la CAN. Dans une vidéo publiée par le média TFT Morocco, on aperçoit plusieurs jeunes talents maghrébins plaisanter à propos d’un éventuel duel entre leurs sélections respectives : Badredine Bouanani, attaquant du VfB Stuttgart avec les Marocains Bilal El Khannouss, qui est également son coéquipier, et Ibrahim Salah (FC Bâle).

C’est alors que l’international algérien, tout sourire, lance :

« Une finale Algérie-Maroc, on les tabasse un peu. »

Rapidement, la séquence s’est répandue sur les réseaux sociaux, faisant réagir supporters et observateurs. Une plaisanterie entre amis, certes, mais qui illustre parfaitement l’esprit de compétition et de fierté qui anime les deux nations avant la grande messe du football africain.

Une CAN décisive pour l’Algérie de Petkovic

Pour Bouanani et ses coéquipiers, l’enjeu dépasse la simple rivalité. Après deux éditions décevantes, l’Algérie veut retrouver le sommet du continent sous la direction de Vladimir Petkovic. Depuis leur sacre au Caire en 2019, les Fennecs n’ont plus franchi la phase de groupes, un contraste saisissant pour une nation habituée à dominer.

Cette fois, la sélection peut compter sur une génération talentueuse portée par Mohamed Amoura, meilleur buteur des éliminatoires du Mondial 2026. Logés dans le groupe E avec le Burkina Faso, la Guinée équatoriale et le Soudan, les Verts d’un Petkovic déjà contesté savent qu’ils n’ont pas droit à l’erreur.

Et si le rêve d’une finale Algérie – Maroc venait à se concrétiser, ce serait bien plus qu’un match de football : un choc d’orgueil, d’histoire et de passion. En attendant, Bouanani a donné le ton, avec humour mais aussi avec une pointe de défi.


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