- La startup nigériane MAX, spécialisée dans la mobilité électrique, a lancé la première station d’échange de batteries alimentée par l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest.
- La station, située au Nigeria, est alimentée par un panneau solaire photovoltaïque de 20 kWp, un onduleur de 24 kW et un parc de batteries de 30 kWh.
- MAX exploite une plateforme de mobilité propre offrant des solutions d’accès aux VE, d’échange de batteries et de propriété au Nigeria, au Ghana et au Cameroun.
La startup nigériane MAX, spécialisée dans la mobilité électrique, a lancé la première station d’échange de batteries alimentée par l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest, faisant ainsi progresser les efforts de construction d’une infrastructure de transport durable pour l’économie gigogne de la région.
La station, située au Nigéria, est alimentée par un panneau solaire photovoltaïque de 20 kWc, un onduleur de 24 kW et un parc de batteries de 30 kWh. Elle alimente directement les unités d’échange de batteries de VE de MAX pendant la journée et stocke l’énergie excédentaire pour un fonctionnement ininterrompu 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, même après le coucher du soleil ou pendant les périodes de faible ensoleillement.
MAX exploite une plateforme de mobilité propre qui propose des solutions d’accès aux véhicules électriques, d’échange de batteries et de propriété au Nigeria, au Ghana et au Cameroun. La nouvelle station élimine la dépendance à l’égard des générateurs à combustibles fossiles et atténue l’instabilité du réseau électrique, permettant aux conducteurs commerciaux d’accéder à l’échange de batteries de manière fiable en utilisant uniquement des énergies renouvelables.
Ce lancement s’inscrit dans le cadre d’un déploiement plus large de stations d’échange alimentées par l’énergie solaire visant à favoriser un transport urbain plus propre et à réduire les coûts d’exploitation pour les conducteurs.
Points clés à retenir
La station d’échange de MAX, alimentée par l’énergie solaire, marque une étape importante dans l’intégration de l’énergie propre dans les systèmes de transport en Afrique. En associant l’infrastructure solaire à l’échange de batteries de véhicules électriques, MAX s’attaque à deux problèmes majeurs dans les villes africaines : le manque de fiabilité de l’électricité et le coût élevé des carburants.
Cette initiative reflète la tendance croissante des startups africaines à concevoir des infrastructures résilientes adaptées aux conditions locales. Pour les conducteurs commerciaux qui dépendent d’un accès prévisible à l’électricité, les stations d’échange alimentées par l’énergie solaire pourraient constituer une alternative viable aux systèmes à base de carburant et à la recharge dépendante du réseau.
Ce développement renforce également le modèle MAX d’adoption inclusive des VE, en particulier pour les livreurs du dernier kilomètre et les chauffeurs de covoiturage. L’accès à l’énergie et les besoins de mobilité continuant à se croiser, le déploiement de MAX pourrait offrir un modèle reproductible d’infrastructure à faible émission de carbone dans les marchés émergents.